Sagot :
1-a) Le risque sismique désigne la combinaison entre l'aléa sismique, les biens et les populations qui y sont soumises, et leur vulnérabilité face à cet aléa. En fonction des situations géodynamiques, politiques, sociales et économiques, le risque sismique dans le monde est très variable, selon les régions considérées.
1-b) la vulnérabilité du sol (ex : risque de liquéfaction, coulées de boues, glissement de terrain) ;
la vulnérabilité des installations et infrastructures ;
la fréquence et l'intensité du séisme ;
2)
Le risque sismique en Ardèche est un des risques majeurs susceptibles d'affecter le département de l' Ardèche (région Auvergne-Rhône-Alpes, France).
2-bis) Le risque sismique en France est la possibilité qu'un aléa de type séisme se produise et occasionne des dommages plus ou moins importants aux enjeux humains, économiques ou environnementaux situés sur le territoire national français. Classé dans la catégorie des risques naturels majeurs, il fait l'objet d'un suivi continu, d'un cadre réglementaire de prévention et d'une information de la population. Une organisation des secours a par ailleurs été mise en place pour faire face à d'éventuelles catastrophes.
3-a) Comme un caillou choquant la surface d'un lac, le choc sismique entraine la propagation d'ondes dans le sol. La figure 1 en donne une image. Ces ondes se
propagent à une certaine vitesse. Il en existe de deux types.
3-b) Le risque sismique désigne la combinaison entre l'aléa sismique, les biens et les populations qui y sont soumises, et leur vulnérabilité face à cet aléa. En fonction des situations géodynamiques, politiques, sociales et économiques, le risque sismique dans le monde est très variable, selon les régions considérées. Dans les régions les plus exposées à l'aléa sismique, la réduction du risque passe notamment par l'information des populations et la construction de bâtiments aux normes parasismiques. Afin de définir le risque sismique, les sismologues doivent caractériser : l'aléa, par l'étude des paléo-séismes enregistrés dans les archives géologiques et/ou humaines ; les enjeux, qui désignent les populations et/ou les infrastructures soumises à l'aléa ; la vulnérabilité, qui dépend des caractéristiques géologiques de la région, de la préparation des populations et de la qualité des infrastructures.
1-b) la vulnérabilité du sol (ex : risque de liquéfaction, coulées de boues, glissement de terrain) ;
la vulnérabilité des installations et infrastructures ;
la fréquence et l'intensité du séisme ;
2)
Le risque sismique en Ardèche est un des risques majeurs susceptibles d'affecter le département de l' Ardèche (région Auvergne-Rhône-Alpes, France).
2-bis) Le risque sismique en France est la possibilité qu'un aléa de type séisme se produise et occasionne des dommages plus ou moins importants aux enjeux humains, économiques ou environnementaux situés sur le territoire national français. Classé dans la catégorie des risques naturels majeurs, il fait l'objet d'un suivi continu, d'un cadre réglementaire de prévention et d'une information de la population. Une organisation des secours a par ailleurs été mise en place pour faire face à d'éventuelles catastrophes.
3-a) Comme un caillou choquant la surface d'un lac, le choc sismique entraine la propagation d'ondes dans le sol. La figure 1 en donne une image. Ces ondes se
propagent à une certaine vitesse. Il en existe de deux types.
3-b) Le risque sismique désigne la combinaison entre l'aléa sismique, les biens et les populations qui y sont soumises, et leur vulnérabilité face à cet aléa. En fonction des situations géodynamiques, politiques, sociales et économiques, le risque sismique dans le monde est très variable, selon les régions considérées. Dans les régions les plus exposées à l'aléa sismique, la réduction du risque passe notamment par l'information des populations et la construction de bâtiments aux normes parasismiques. Afin de définir le risque sismique, les sismologues doivent caractériser : l'aléa, par l'étude des paléo-séismes enregistrés dans les archives géologiques et/ou humaines ; les enjeux, qui désignent les populations et/ou les infrastructures soumises à l'aléa ; la vulnérabilité, qui dépend des caractéristiques géologiques de la région, de la préparation des populations et de la qualité des infrastructures.