Réponse:
Bonsoir,
Le centre de mon monde réside dans ton nombril, dont le creux ressemble à une falaise d'où émerge un énorme poisson couvert d'un magnifique flocon doré. La lame aiguisée de mon couteau à peine sorti de ma poche effleure ton visage semblable à un masque d'argile, dont l'unique grain de beauté attire tous les regards. Je me souviens d'avoir brûlé dans ta boîte à lettre un citron dont l'odeur t'était fort agréable.