Sagot :
Ma réponse :
Arnolphe est hanté par la crainte d’être cocu. Pour échapper aux misères du cocuage, le barbon Arnolphe a décidé d’épouser sa pupille, recueillie dès l’âge de 4 ans et qu’il a pris soin d’élever dans une complète ignorance des réalités de l’amour et du monde. Donc Arnolphe est aux prises avec une jalousie dévorante. Le langage qu'il utilise dans le monologue lorsqu'il apprend qu'Agnès l'a laissé pour un homme plus jeune le montre : "godelureau", "s’amourache". Chez Arnolphe, l’obsession de ne pas être « cocu » tourne à la monomanie, et le rend ridicule, par exemple quand il tombe dans l’excès en parodiant le tragique. Il est obligé de garder le silence, face à Horace. Le public, complice, rit alors des apartés, par exemple « Ah! Je crève… ».
j'espère que ça t'a aider