Sagot :
Bonjour, alors je peux t’aider à avoir une idée de ce que sa pourrait parler mais il faudra que tu continues avec ton imagination la fin!
Tu pourrais parler d’un village inconnu au près de tout le monde et qu’une enfant le découvre puis vis sa vie là bas et tu racontes ses jours depuis son arrivé.
J’espère que sa t’auras aidé !
Tu pourrais parler d’un village inconnu au près de tout le monde et qu’une enfant le découvre puis vis sa vie là bas et tu racontes ses jours depuis son arrivé.
J’espère que sa t’auras aidé !
Bonjour ! Dois-tu réaliser vraiment un récit, ou une nouvelle (le fantastique et les nouvelles étant deux thèmes importants d’une même séquence de français, en général) ?
Dans les deux cas, tu dois penser qu’un récit fantastique se déroule très souvent de cette façon:
- Tu fois commencer l’écriture dans un cadre réaliste. Tu peux, par exemple, introduire des rues, des lieux existants, des dates passées ou présentes (surtout pas futures, pour ne pas tomber dans la science-fiction)
- Une fois que tu as installé un cadre réaliste (ne pas parler de fantômes, d’animaux fantastiques, de magie... dès le
début), tu vas mettre à la succession des événements qui commencent à être « bizarres ». Par exemples, des lumières qui s’éteignent, les portes qui s’ouvrent, le plancher qui grince... Tous ces événements doivent être introduit tel une gradation (il s’agit d’une figure de style, c’est une accumulation, dont les termes sont dans
l’ordre croissant, comme « je me
meurs, je suis mort, je suis enterré » (MOLIÈRE)). Ne mets pas un gros bruit de chaise tombante, avant un petit grincement de porte. La logique et la chronologie était nouvelle seraient remises en cause.
- Toujours sous forme de gradation, tu dois ensuite introduire des choses réellement bizarres: des apparitions, des halos de lumières, des voix, des objets bougeant seuls...
- Généralement, une nouvelle fantastique ne donne aucune fin réelle, et laisse le lecteur imaginer une suite, qui peut être rationnelle ou irrationnelle. Un récit, quant à lui, contient une fin déterminée et bien précise.
Pour t’aider à comprendre ce fonctionnement, tu peux visionner le film « Les Autres », qui est très intéressant et insiste bien sur cette notion (néanmoins, elle ne laisse pas le lecteur imaginer sa propre fin, mais étant un film et non une nouvelle, c’est normal).
J’espère que mes explications t’auront éclairées !
Dans les deux cas, tu dois penser qu’un récit fantastique se déroule très souvent de cette façon:
- Tu fois commencer l’écriture dans un cadre réaliste. Tu peux, par exemple, introduire des rues, des lieux existants, des dates passées ou présentes (surtout pas futures, pour ne pas tomber dans la science-fiction)
- Une fois que tu as installé un cadre réaliste (ne pas parler de fantômes, d’animaux fantastiques, de magie... dès le
début), tu vas mettre à la succession des événements qui commencent à être « bizarres ». Par exemples, des lumières qui s’éteignent, les portes qui s’ouvrent, le plancher qui grince... Tous ces événements doivent être introduit tel une gradation (il s’agit d’une figure de style, c’est une accumulation, dont les termes sont dans
l’ordre croissant, comme « je me
meurs, je suis mort, je suis enterré » (MOLIÈRE)). Ne mets pas un gros bruit de chaise tombante, avant un petit grincement de porte. La logique et la chronologie était nouvelle seraient remises en cause.
- Toujours sous forme de gradation, tu dois ensuite introduire des choses réellement bizarres: des apparitions, des halos de lumières, des voix, des objets bougeant seuls...
- Généralement, une nouvelle fantastique ne donne aucune fin réelle, et laisse le lecteur imaginer une suite, qui peut être rationnelle ou irrationnelle. Un récit, quant à lui, contient une fin déterminée et bien précise.
Pour t’aider à comprendre ce fonctionnement, tu peux visionner le film « Les Autres », qui est très intéressant et insiste bien sur cette notion (néanmoins, elle ne laisse pas le lecteur imaginer sa propre fin, mais étant un film et non une nouvelle, c’est normal).
J’espère que mes explications t’auront éclairées !