Réponse : 58 mots
Les défenseurs de la peine de mort craignent surtout que le criminel récidive.
Ils souhaitent une justice de la prudence et cela leur paraît juste. Mais cette justice de l'élimination il faut se poser la question : qui tue-t-on ? Tuerait-elle les déments ? La justice alors s'en remettrait non aux juges mais aux psychiatres.