Sagot :
La pluie tombait à longs traits parallèles sur les voyageurs qui attendaient le car de Rabat qui vient de prendre sa place dans le quai de la gare routière. Il ne parait pas en bon état et malgré ça ils commencèrent à chercher leurs places dedans.
Entre les rangs parait un vieil homme qui avait l'air si abandonné, si misérable, la tête baissée avec une expression pitoyable. C'était un homme d'une cinquantaine d'années, mesurant environ 1m70, plutôt mince, tout ratatiné. Il était vêtu d'un pantalon marron et d'un manteau de grossier drap noir. Il avait une main appuyée sur un gros bâton et l'autre était tendue pour demander l'aumône.
D'une voix baissée, il commence à raconter son histoire en demandant de l'aide. Les dons se multiplient et les gens ont montré une grande solidarité avec ce pauvre. A ce moment le chauffeur démarra le car, alors le vieil homme descend en souhaitant une bonne route aux voyageurs