Sagot :
Réponse :
Des flocons, doucement tombent en cet hiver,
Les gazouillis des jardins ont fini leurs airs,
Les moineaux ainsi cachés songent aux parcs verts
Des terres lointaines jusqu'au diable vauvert.
Voilà que, moi aussi, je rêve des tropiques,
Si loin, si proches, pour un rayon de soleil.
Oui, on m'espère là-bas, derrière une crique,
Où les vagues cristallines font merveille.
Les alizés transportent leurs souffles vers moi,
Les lourdes frégates planent entre deux nuées,
Le sable fin des grèves comme des buées,
Réfléchit l'éclat du jour soufflant mon émoi.
Tandis que les cieux étoilés m'invitent
A toucher les infinis décors des sites.
Explications :