Sagot :
Réponse :
Je venais de fêter mon dixiéme anniversaire. Depuis des années, mes parents savaient que je désirais un chien comme cadeau. Cet anniversaire, j'étais persuadé que je l'aurai. Ce pressentiment avait évolué dans ma tête car ma mère me disait quand tu auras quinze ans, tu seras responsable, on en reparlera.Ce jour qui aurait du être le meilleur fut triste et décevant. Ma déception fut immense. Mon père me demanda pour quelles raisons, je n'étais pas content. Un jeu vidéo avait remplacé ce chiot malinois tant attendu. Alors, je lui dis : " oui, je m'attendais avoir autre chose, comme un chiot. J'ai dix ans. Surpris, il regarda ma mère et déclara, oh, ce n'est que ça, t'inquiète quand tu auras ton chez toi, tu pourras avoir un chien. Je sentis une colère montée en moi, et je quittai la pièce, suivi de ma mère. Enfermé dans ma chambre, j'aurai aimé que cet anniversaire se passe comme un jour ordinaire. Ma mère essaya en vain d'entrer, mais j'étais trop furieux, ridicule. A l'heure du repas, mon père vint taper à ma porte. Ce fut la première fois que je me positionnais face à lui.
-- " Non, c'est bon, je n'ai pas faim "
-- " Tu descends immédiatement, je te laisse cinq minutes"
Déterminé, je n'avais pas faim, et ne descendis pas.
Ma mère vint me supplier et ajouta, descends on va en parler à table!
Quelques minutes plus tard, j'étais assis à table. Mon père avait tout préparé, il faisait les questions et les réponses. Inutile de répondre, j'aurai toujours tort.
Ma mère posa sa main sur la mienne et déclara, tu vos, ton père à raison, c'est un être vivant, il faut le sortir plusieurs fois par jour, veiller sur lui, le nourrir, le faire courir, et les frais de vétérinaire n'en parlons pas. Je sortis de la table sans rien dire, et ce jour, je me suis fait une promesse. Un jour, j'aurai mon chien et je l’emmènerai partout
Explications :