Il atteint la côte de Brea qu’il franchit par des sentiers abrupts, le long de précipices qui ne sont pas encore ces insondables abîmes de la Sierra Madré. Puis le cavalier s’arrête pour faire reposer son cheval.
Le soleil disparaît à l’horizon, quand Martinez arrive à un village. Ce village ne compte que quelques huttes habitées par de pauvres Indiens.