Comme attendu, le président américain a dénoncé jeudi 1er juin un accord mal négocié par Obama et nuisible aux emplois américains. Mais sa justification économique est mise à mal par la spectaculaire création d'emplois dans les énergies renouvelables et la mobilisation de nombreuses entreprises américaines en faveur de l'accord de Paris. Et on voit mal comment les États-Unis pourraient maintenant renégocier un nouvel accord qui leur serait plus favorable.