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S10. a) Relevez trois adjectifs que le narrateur emploie pour se décrire, au deuxième paragraphe. (/1)
b) Quelle portrait avons-nous du personnage ? (/6) développez votre réponse
11. Qu'est-ce qui explique la transformation, chez le narrateur. Justifiez votre réponse en vous appuyant sur l'ensemble du
texte. (/5)
Il-Réécriture 10)
Réécrivez le début du texte, jusqu'à «...si coupable » (1.5) à la 3eme personne du pluriel, en faisant toutes les
transformations nécessaires.
Le lendemain de mes quinze ans, j'apprenais enfin ce que j'avais toujours su. J'aurais pu moi aussi coudre l'insigne à ma poitrine,
comme ma vieille amie, fuir les persécutions, comme mes parents, mes chères statues. Comme tous ceux de ma famille. Comme
leurs semblables, ces voisins, ces inconnus, dénoncés par la dernière syllabe de leurs noms en sky, en thal ou en stein. Je
découvrais tous ceux qui me l'avaient dissimulé marqués par cet adjectif si encombrant, si coupable.
Svp j'ai besoins d'aide

S10 A Relevez Trois Adjectifs Que Le Narrateur Emploie Pour Se Décrire Au Deuxième Paragraphe 1 B Quelle Portrait Avonsnous Du Personnage 6 Développez Votre Rép class=

Sagot :

Réponse:

Relevez trois adjectifs que le narrateur emploie pour se décrire, au deuxième paragraphe. (/1)

décharnée (silhouette) , plus fort

(plus du tout )faible, incapable et inapte

Quelle portrait avons-nous du personnage ? (/6) développez votre réponse

le portrait d'un adolescent dont le corps se transforme et qui n'aura plus honte de son nom

11. Qu'est-ce qui explique la transformation, chez le narrateur. Justifiez votre réponse en vous appuyant sur l'ensemble du

texte. (/5)

La connaissence de l'histoire de sa famille à l'étoile jaune

ses vêtements trop grands sont semblables à ceux que portaient les juifs en camps de concentration

Il-Réécriture 10)

Réécrivez le début du texte, jusqu'à «...si coupable » (1.5) à la 3eme personne du pluriel, en faisant toutes les

transformations nécessaires.

Le lendemain de leur quinze ans, ils apprenaient enfin ce qu'ils avaient toujours su. Ils auraient pu eux aussi coudre l'insigne à leur poitrine,

comme leur vieille amie, fuir les persécutions, comme leurs parents, leurs chères statues. Comme tous ceux debleur famille. Comme leurs semblables, ces voisins, ces inconnus, dénoncés par la dernière syllabe de leurs noms en sky, en thal ou en stein. Ils découvraient tous ceux qu'ils leur avaient dissimulé marqués par cet adjectif si encombrant, si coupable.

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