Réponse:
les deux mouvements puisqu'il parle d'amour et que le personnage de Julien Sorel est réel,pris par Stendhal dans un fait divers d'une gazette. Le procès d'un homme qui se nommait Antoine Berthet, 25 ans, fils d'artisan, ancien séminariste devenu précepteur, jugé et condamné pour meurtre
Ainsi Stendhal y rajoute sa haine de l'église et ses tourments d'adolescent provincial qui rêvait de réussite à Paris.
De plus on peut voir une ressemblance avec Balzac
dans le père Goriot ou illusions perdues.