Sagot :
Alors qu’un soir tout allait pour le mieux je me mis dans mon lit et tout d’un coup une voix, une magnifique voix me traversa le corps. Quand j’ouvris les yeux, a ma plus grande surprise, je vis les personnages de mes livres plus vivant que moi. Je me dis que c’était un rêve, jusque au moment où une jeune femme au yeux bleu et au cheveux blond me tendas la main avant qu’on se mette à danser une valse sans fin. On parler de tout et de rien, c’étais spectaculaire jusqu’au moment où je lui ai dit que j’étais l’humain de cette chambre elle me regarda et partis en courant. Le lendemain matin, à mon réveil tout été en ordre. Je chercha le livre où elle y était, le prenas et je dévora le livre où elle racontait que la jeune femme étais un personnage imaginaire et un humain étais tombait amoureux d’elle. Mais c’était un amour impossible.
Voilà je n’avais plus vraiment d’inspiration sur la fin alors tu peux modifier quelque trucs
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Réponse :
La nuit fut agitée et j'avais fait un bien mauvais rêve dont je ne me souvenais plus en me réveillant en sursaut. En revanche, ce dont je me souviens, c'est d'un bruit que faisait penser à la me.; Je n'osais éclairer ne sachant pas ce que ce bruit signifiait ni d'où il venait. J'entendais même des mouettes or, j'habitais bien loin de la côte. Le bruit était régulier et sans aucun doute, c'était le bruit de vagues qui s'échouaient sur le sable. Un rayon de lune passa par la fenêtre dont je n'avais pas tiré les rideaux et le tableau accroché au mur s'éclaira; C'était une aquarelle que je ne remarquais plus, elle était si ancienne et m'avait été donnée par mon grand père. Je me frottai les yeux, je m'assis sur le lit et le rivage de la côte normande que grand père aimait bougeait, il y avait même de l'écume sur les vagues. Je sentais l'air marin entrer dans la chambre et même une odeur particulière iodée. je n'étais plus seulement intriguée mais je commençais à avoir peur, Je pensais que je devenais fou et je transpirais.