Réponse :
-Sacrilège qu'a-tu fait?
j'était rouge de colère ce gros bonnet avait réussit à s'attirer les flammes d'un régiment. Mon souffle était court et les battement anarchiques de mon cœurs tambourinaient prêtes à jaïr de ma poitrine. Mon corps devin lourd et je sentis une chaleurs étouffante envelopper. Tous retenait son souffle en attendant ne serait-ce qu'un mots de la part du colonel. Voyant que rien ne se passait je tenta avec le peu de force qu'il me restait d'articuler trop mois, à peine j'eu le temps d'entrouvrir ma bouche qu'un garde du régiment dégaina son épée de son fourreau et le posa près du garde manteau, j'avala péniblement ma salive et la le colonel se mis à parler:
-Etes vous bien Ferdinand Bardamu?
et moi d'un ton sonnant faussement assuré répondit: oui?
- Ah que sa fait plaisir de vous revoir!
Nous revoir, à quoi pansait t-il, à moins que ce colonel soit fou, Ferdinand ne se souvenait pas avoir rencontré un jour un colonel encore moins un régiment. Mais enfin, les gardes souries et abaissèrent les armes et d'un ton joviale commanda une bière et le fit asseoir autour d'une table, Ferdinand ne savait pas se qu'il se passait mais il s'avèrent qu'ils les avaient sauvée.
Explications :
J'ai écris plus de lignes qu'il ne fallait, en tout 17 j'espère que cela te sera utile, bonne continuation.
