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5. Quelle est la forme de ce poème ?
6. Quel changement remarquez-vous dans la ponctuation ?
7. Relevez le vocabulaire qui se rapporte à la souffrance et à la mort.
8. Quelle assonance est présente au vers 9 ? À quel sentiment
peut-on l'associer ?
9. Quelle comparaison le poète utilise-t-il pour se décrire ?
Que révèle-t-elle ?
10. Expliquez la métaphore du vers 7-8.

À une passante poème, SVP ! ​

Sagot :

Réponse :

5. Le poème est un sonnet, poème à forme fixe composé de 2 quatrains et 2 tercets

6. Les deux tercets multiplient les exclamations et les interrogatives.

7. Le champ lexical de la souffrance, de la mort : hurlait, crispé,  tue,

8. Assonance :  en I, son aigu qui fait mal

9. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Le poète est fasciné, enivré

10. La métaphore :  

où germe l'ouragan, ( le regard va provoquer chez lui une perturbation

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. La douceur est personnifiée tout comme le plaisir.

Explications :

La rue assourdissante autour de moi hurlait.

Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,

Une femme passa, d'une main fastueuse

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.

Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

Dans son oeil, ciel livide où Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,

Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté

Dont le regard m'a fait soudainement renaître,

Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !

Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,

Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

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