Sagot :
Bonjour,
« Ses doigts crochus saisissent alors mon cou, le meurtrissent, et je me sens pressé comme par des tenailles acérées . […] Hercule se porte sur mes flancs dégarnis , jette autour de mon cou ses bras nerveux : je l’entraîne, et, sans lâcher prise, il me suit, saisit de mon front la corne menaçante, me courbe, me renverse à ses pieds immenses , me roule sur l’arène. »
Réponse:
ses longs doigts effilés saisissent alors mon frêle cou, le meurtrissent et je me sens oppressée si pressée un peu comme par des puissantes tenailles en fer.
Hercule se porte sur mes minces flancs droits
jette autour de mon long cou meurtri, ses puissants bras nerveux ;
je l'entraîne et sans lâcher prise, il me suit,saisit, saisit de mon large front humide l'épaisse corne menaçante, me courbe, me renverse à ses immenses pieds velus, me roule sur l'arène sablée des corridas.