Sagot :
Réponse :
Bonjour,
Explications :
On constate que ce poème est essentiellement composé dans son intégralité d’antithèses ; Dans chaque vers il y a une opposition entre les souhaits de l’auteur et la triste réalité. On notera un parallélisme des structures
Question 1: Que peut-on dire du vers final ? Est-il construit sur le même modèle que les
treize autres ?
Dans le vers final on ne retrouve pas les oppositions qui dominent dans les vers précédents, donc il ne ressemble pas aux autres 13 autres.
Question 2: Pourquoi ce dernier vers est-il mis en relief ? Quelle est la fonction de « Morel »?
Le poète apostrophe « Morel », un humaniste, parce qu’en finalité, il s’adresse à nous, lecteurs, pour partager avec lui les expériences de la désillusion.
Question 3: Quel signe de ponctuation termine le vers ? Attend-il réellement une réponse ? Comment appelle-t-on cette figure de style ? Quel est le but recherché ?
Le point d’interrogation termine le vers. Il s’agit d’une question rhétorique. Cette interrogation ne requiert pas de réponse obligatoire, puisqu’elle est suggérée dans l’énoncé de la question. L’auteur cherche finalement un réconfort auprès du lecteur.
Question 4 : A quel degré est l'adjectif « chétif » ? Par quelle expansion est-il suivi ? Que peut-on en dire ?
Une personne chétive est une personne frêle. Ici l’adjectif « chétif » se traduirait par une personne manquant d’ampleur, insuffisante, sans ambitions
Il est précédé d’un superlatif « le plus » et suivi de l’expansion « du monde » : il se sent vraiment seul, oublié, confus.
Partager avec lui une expérience de désillusion : ici je te laisse faire c’est un travail personnel