Sagot :
Hier, en fin de matinée, dans la vieille ville de Concarneau, le commissaire Maigret s’est rendu sur les lieux d’une scène cruelle où un chien s’était fait lâchement lapider par des habitants. C’est l’inspecteur Leroy qui avait prévenu le commissaire de l’agression de l’animal. En entendant le râle plaintif de la bête, le commissaire Maigret a décidé d’intervenir en écartant la foule et pour protéger le chien agonisant.
Après les cris de la foule excitée, on n’entendait plus que les râles du chien. Mais une vielle dame a crié : .. ils sont tous à s’acharner sur cette pauvre bête … et je sais bien pourquoi, moi !… parce qu’ils en ont peur ». Le commissaire s’est baissé pour caresser l’animal. L’inspecteur Leroy est sorti d’un café et a demandé une charrette à bras pour amener le chien, qui s’accrochait à la vie, jusqu’à l’hôtel. Ce cortège n’était pas ridicule mais impressionnant !
Nous déplorons cet acte de pure lâcheté dans notre cité, et nous espérons que cette pauvre créature survivra.
Après les cris de la foule excitée, on n’entendait plus que les râles du chien. Mais une vielle dame a crié : .. ils sont tous à s’acharner sur cette pauvre bête … et je sais bien pourquoi, moi !… parce qu’ils en ont peur ». Le commissaire s’est baissé pour caresser l’animal. L’inspecteur Leroy est sorti d’un café et a demandé une charrette à bras pour amener le chien, qui s’accrochait à la vie, jusqu’à l’hôtel. Ce cortège n’était pas ridicule mais impressionnant !
Nous déplorons cet acte de pure lâcheté dans notre cité, et nous espérons que cette pauvre créature survivra.