Bonjour,
Qu'elle qu'un peut m'aidez en Français s'ils vous plait Merci d'avance. ))


Bonjour Quelle Quun Peut Maidez En Français Sils Vous Plait Merci Davance class=

Sagot :

Réponse :

Bonsoir,

Ex 1 :

Ecoutez, mon brave homme, votre poney plaît beaucoup à cette dame. Elle vient juste d’en perdre un et veut le remplacer. Ses enfants seraient très déçus s’ils apprenaient la chose. Au diable votre ami ! Il attendra. Quel est votre prix ? Vingt-cinq guinées, dit vivement Jem. C’est au moins ce que mon ami devait payer.

Ex 2 :

a) seulement = précise le nombre d'habitants ayant le droit de venir dans cette maison.

b) fortement = précise la constitution de ce type d'enfants.

c) horriblement = il modifie l'attachement à voir l’expression de cette douleur jeune.

d) trop = précise le fait qu'il soit à la mode / trop = précise le fait qu'il soit adulé par le monde pour pouvoir avoir de grands sentiments.

Ex 3 :

a) Il est trop éloigné, je ne peux pas le voir là-bas.

b) Le samedi, Lucie se rend généralement au skate-parc : elle y fait de la trottinette et il y a éventuellement des amis avec qui discuter.

c) Malheureusement je ne peux pas vous rembourser, j’en suis désolé : il me faut d’abord votre ticket d’achat pour intervenir.

d) Tu ne vas surement pas me croire : j’ai dépensé plus que ce que j’avais prévu !

e) Il me reste encore de quoi acheter un cadeau supplémentaire.

f) Elle a bien fait les choses : la fête a été succès.

g)  Je ne peux pas croire qu’il lui ait répondu cela : elle a dû être vraiment déçue.

Ex 4 :

a) Lison a toujours le droit d’aller chez une amie après les cours.

b) Elle désobéit jamais en lisant des livres.

c) Elle est légèrement autonome dans son travail.

Ex 5 :

a) Tu as mis un pantalon qui est trop court pour toi.

b) Elle a coupé trop haut sa frange.

c) Il s'est arrêté net sans finir sa phrase.

d) Tu parles à un faux ami.

e) Je crois que ça sonne en bas.

Ex 6 :

« Tout à coup, je la vis paraître dans la pénombre, s’étirer longuement comme pour se donner le temps de réfléchir encore, puis s’avancer vers moi, hésitante, avec  des temps d’arrêt ; parfois même, en affectant une grâce toute chinoise, elle retenait une de ses pattes en l’air… Et évidemment elle me regardait fixement , d’un air interrogateur. Qu’est-ce qu’elle pouvait me vouloir ? … Elle n' avait pas faim, alors : une pâtée toujours convenable lui était, deux le jour, servie par mon ordonnance. Très quoi ?

Quand elle fut bien fort, bien près à toucher ma jambe, elle s’assit sur son derrière, ramena sa queue, et poussa un petit cri très doux… »  

Bon courage ^-^