Sagot :
Aaaah… elle m’a tellement manquée ! Depuis l’âge de mes 6 ans, je fréquente la plage de Vasto Marina. Ce n’est pas la plus belle d’Italie, ce n’est pas la plus grande et ce n’est certainement pas la plus sauvage puisque les concessions ont grignoté, années après années, les espaces libres mais voilà, c’est LA plage, celle de mon enfance et tout est là : les palmiers, les oléandres roses, rouges et blancs… seule la promenade a changé. Elle est tout nouvelle et lisse, fini de se fracasser les doigts de pied en tongs dans les nids de poule !
Ce matin, comme dans mes souvenirs, des milliers de paillettes miroitent à la surface de la mer et l’air pétille… j’ai hâte d’arriver sur le sable, de planter mes pieds dans cette enveloppe douce et chaude. Rien que l’idée me fait accélérer le pas plus vite que la musique que j’ai dans les oreilles.
Arrivée au petit club de plage ou j’ai mes habitudes, je suis promptement emmenée vers mon spot. A cette heure-ci, et en ce début juillet, il n’y a presque personne. Je serai tranquille. La journée est moi, entièrement dédiée à mes propres caprices, ou a farniente si j’ai envie ! Je me débarrasse de mes vêtement le plus vite possible et je cours presque pour entrer dans l’eau. Elle est fraîche, comme tous les matins mais bientôt, je m’immerge complément et nage jusqu’à perdre pied. Je n’ai pas peur, je suis une bonne nageuse mais j’ai le cœur tellement gonflé de joie d’être là que je flotterai quoiqu’il en soit. Une fois que je suis comblée d’avoir joué à la petite sirène, je sors tout aussi lentement de l’eau que je m’étais précipitée pour y entrer. La chaleur du sable grille doucement mes plantes de pieds. Après m’être soigneusement séchée et enduite d’huile solaire, je sors de mon sac un livre et m’étends. Pendant un moment, j’oublierai où je suis, alors que je viens à peine d’arriver.
Ce matin, comme dans mes souvenirs, des milliers de paillettes miroitent à la surface de la mer et l’air pétille… j’ai hâte d’arriver sur le sable, de planter mes pieds dans cette enveloppe douce et chaude. Rien que l’idée me fait accélérer le pas plus vite que la musique que j’ai dans les oreilles.
Arrivée au petit club de plage ou j’ai mes habitudes, je suis promptement emmenée vers mon spot. A cette heure-ci, et en ce début juillet, il n’y a presque personne. Je serai tranquille. La journée est moi, entièrement dédiée à mes propres caprices, ou a farniente si j’ai envie ! Je me débarrasse de mes vêtement le plus vite possible et je cours presque pour entrer dans l’eau. Elle est fraîche, comme tous les matins mais bientôt, je m’immerge complément et nage jusqu’à perdre pied. Je n’ai pas peur, je suis une bonne nageuse mais j’ai le cœur tellement gonflé de joie d’être là que je flotterai quoiqu’il en soit. Une fois que je suis comblée d’avoir joué à la petite sirène, je sors tout aussi lentement de l’eau que je m’étais précipitée pour y entrer. La chaleur du sable grille doucement mes plantes de pieds. Après m’être soigneusement séchée et enduite d’huile solaire, je sors de mon sac un livre et m’étends. Pendant un moment, j’oublierai où je suis, alors que je viens à peine d’arriver.