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Sagot :

Bonsoir, je t’écris un exemple de texte, j’espère que tu pourras t’en inspirer, par contre je ne suis vraiment pas douée pour la concordance des temps, désolé.

« Pour commencer, j’ai parler de ton regard, enfin des notre, de cette alchimie lorsque pour mon plus grand bonheur nos regards se croisaient, et qu’ils ne pouvaient se détacher. Aimantés malgré plusieurs mètres de distance. Tu avais ce don de me lire, de contempler l’intérieur de mon petit monde dans lequel fusé les rêves où tu étais constamment présent. Tu avais cette chance de me déshabiller en un regard se qui me faisait moi même oublier les couches de tissus présentes sur ma peau. Mais tes beau yeux couleur noisette ne vivent maintenant plus que dans mes vieux souvenirs enfouis dans mes pensées. C’était il y a 4 ans déjà lorsque ton regard à croisé le miens pour la toute première fois. Un frisson me parcourut le corps, et je ne pu m’empêcher de venir t’aborder. Dès le premier jour, on a cassé les codes, une femme qui aborde un homme ça ne court pas les rues. J’ai su au premier instant qu’avec toi ce serais différent.
Et voilà, tout est parti de là, comme c’était si parfait, un rêve, le compte de fée dans lequel j’ai toujours voulu vivre, j’idéalisais cette belle histoire de romance mais la réalité à fini par ressortir et notre belle histoire c’est achevé d’une manière tragique, tout aurait pu être simple mais tu as décidé de tout compliqué. J’aurais aimé savoir un jour pourquoi.
Je suis tombé amoureuse de toi lors de notre première rencontre, cet amour était différent de tout ce que l’on pourrait imaginer. C’était un amour passionnel. Nous avons mis corps et âmes dans cette histoire, dans notre histoire.
Mais ce soir là, je t’ai trouvé dans ce bar, embrassant une grande brune, aux yeux noirs semblables à ceux d’une sorcière. Comment à tu pus me trahir de cette sorte ? Me tromper, moi ? La femme avec qui tu souhaitais finir ta vie. N’était-ce que des paroles en l’air ? N’était-ce que des mensonges ?
À partir de cette nuit, mon mode c’est écroulé. Le toi que j’idéalisai est mort. Je suis passé d’un amour passionnel à une haine atroce me grignotant la peau comme des souries se jetant sur un fromage.
Lorsque que je t’ai vu, je ne voulais même pas y croire. Je suis resté planté là, devant la porte, l’empêchant même de se fermer, et laissant entrer le froid glacial de ce mois de Janvier. Je sentais les larmes monter et je ne pu les empêcher de se mettre à ruisseler le long de mes joues. Des souvenirs de toi défilaient déjà dans ma tête comme la bande annonce d’un film. Puis j’ai entendu la voix de cet homme disant « La porte ! ». Cette voix grave, presque inquiétante m’a sorti de mes pensées. Et n’ayant la force de t’affronter, j’ai laissé tomber mon sac qui c’est vidé sur le sol et je suis partie en courant, les larmes ne s’arrêtaient pas de couler.
Je ne t’ai jamais revu depuis. Ce soir là j’ai pris mes affaires et je suis partie. Mais je ne cesse malgré tout de penser à toi. À nous. À ce que nous aurions pu être si tu n’avais pas tout détruit. Je ne me suis malheureusement jamais relevé, je n’ai pas réussi à surmonter cette épreuve et c’est regrettable. Malgré cette trahison impardonnable. Cette haine, cette rage et ce désir de vengeance de te voir souffrir. L’amour que j’ai pour toi est encore bien trop fort, je ne cesserais jamais d’imaginer les grandes mains chaudes se posant sur moi et embrasant tout mon corps. Tu as détruit ma vie, mais aussi contradictoire que cela puisse être, tu es le seul qui m’a rendu heureuse.
Aujourd’hui je suis triste. Je suis vidée de mes émotions. Je suis épuisé. Quatre années pourtant ce sont écroulées. Mais je ne pense pas m’en remettre un jour.
Alors si tu lis cette lettre aujourd’hui. C’est que mon heure est venu. Je ne supportais plus de vivre. Mais je tenais à ce que tu saches. J’étais enceinte de toi. Mais je l’ai perdu avant même qu’il ne naisse. Par ta fautes. À cause de cette foutu dépression causer après le vide que tu as laissé après la tempête que tu as été. »

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