Sagot :
Réponse :
Dans nos combats quotidiens, il n'y a pas de victoire définitive contre la maladie, contre la guerre, contre la haine, contre le racisme, contre la violence faite aux femmes, aux enfants ....
Il est des combats qui demandent une vigilance constante et des bonnes volontés pour continuer.
A la fin du roman La peste, Camus rappelle que le bacille de la peste ne meurt pas, il est en sommeil mais peut se réveiller.