Sagot :
Le blame, mot qui reproche les drames. Ce dernier éveille, reproche et incite, fait naître chez l'être une forme de prise de consciense jugée tard. Il intervient et nous guide, sur l'act qui était censé être valide. Je m'annonce moi, l'un de ses refutants, car rien n'est parfait, inclu les virages de nos experiences non planifiées. Une foi s'avère critique pour que le blame lui, censé être l'éclat d'une scène alternative prometteuse, ne devient dégradant. Dans la vie, il faut chercher d'apprendre à apprendre, et ne pas arrêter d'ouvrir les portes de guidage dans le couloir de l'espoir. Pour ceci, il faut s'engager dans une fluidité atypique à chercher d'être flexible et productive, expérimenter et tourner les pages du rendement dans la fluidité requise, pour avoir des résultats respectifs. Ce qui est passé doit être derrière nous, car notre plus grand projet, celui de notre vie, et mouvementé par le présent, un projet plein de ramifications des vécus et d'expériences.