Sagot :
La dernière strophe n’exprime plus la souffrance mais plutôt une sorte de résignation. Le poète semble s’en remettre à la nature, s’abandonner à elle. Verlaine était convaincu d’être sous l’influence néfaste de Saturne et donc, qu’un destin fatal l’attendait. La ressemblance du profil phonique de la fin du vers 13 et de la fin du vers 14 : " m’en vais " et " mauvais " est peut-être la marque de ce mauvais pressentiment. Cet abandon aboutit presque à une réification, funèbre, puisque Verlaine se compare à une " feuille morte ". Il y a donc, selon moi,
une comparaison
j'espère t'avoir aidé !
bonne soirée :)