Bonjour,
« Le couchant a dardé ses rayons suprêmes
Et le vent a bercé les nénuphars blêmes ;
Les grands nénuphars entre les roseaux
Tristement ont lui sur les calmes eaux.
Moi j’ai erré toute seule, promenant ma plaie
Au long de l’étang, parmi la saulaie »