rebonjour j'ai encore besoin d'aide je comprend toujours pas quelqu'un pourr8 m'aider s'il vous plaît
1: quel sens sont présents dans la deuxième strophe relevez les mots qui vous ont permis de répondre
2: relevez les expressions qui montrent que le jardin est le même que celui de l'enfance du poète
3: quels indices montrent que le temps a passé
4: relevez l'allitération au vers 14 est-elle liée à une sensation agréable
voila je vous promet que je vous embête plus après merci beaucoup pour l'aide que vous me fournissez

Ayant poussé la porte étroite qui chancelle
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu'éclairait doucement le soleil du matin.
Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle,

Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle
De vigne folle avec les chaises de rotin...
Lejet d'eau fait toujours son murnure argentin
Et le vieux tremble' sa plainte sempiternelle

Les roses comme avant palpitent comme avant.
Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,
Chaque alouette qui va et vient m'est connue.

Même j'ai retrouve debout la Velleda
Dont le plátre s'écaille au bout de l'avenue.
- Grele parmi l'odeur fade du réseda
merci.​


Sagot :

Réponse :

1. Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle

De vigne folle avec les chaises de rotin...

Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin

Et le vieux tremble' sa plainte sempiternelle

La deuxième strophe sollicite la vue et l'ouïe.

2. Le jardin est le même.

Rien n'a changé. J'ai tout revu :

Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin

les roses comme avant

comme avant les grands lys

chaque alouette m'est connue

j'ai retrouvé la velleda

3. Le temps a passé : le plâtre de la statue s'est écaillé

4. "Grêle parmi l'odeur fade du réséda"

allitération en R, peu agréable