Sagot :
Réponse :
Bonjour
Explications :
Sans savoir pour quelles raisons, aujourd'hui, tout me semble étrange, je suis craintif (ve) et une anxiété m'étreint que dis-je me panique. Je suis venu(e) visiter cette maison mais une terreur inconsciente affole mon petit cœur. Je monte les escaliers, et affolé (e) par un bruit métallique, je suis épouvanté (e). Une alarme se déclenche, j'entends des voix à l'étage et je trouve bizarre que personne ne soit venu m'accueillir. Je pousse une porte, c'est une abomination, affolé (e) je recule devant ce tas d'immondices. C'est toute ma phobie, être et regarder toute cette désorganisation, cette saleté ! Un réflexe et j'appréhende la suite. Un pressentiment me dit de fuir mais une petite voix me souffle, reste, reste .... Quel désarroi, cette détresse de ne pas comprendre la réalité des évènements. Avec hantise et une psychose certaine, je me dis que je suis dans un cauchemar. Brutalement, face à moi, deux hommes me demandent ce que je fais chez eux. Mes jambes tremblent et d'une petite voix je leur dis : " mais je suis venu (e) visiter cette demeure, comme prévu par téléphone .
-- Ah, oui, tu veux venir habiter ici, désolé pour toi, mais aucune vente ou location n'est prévue. Dis -nous pourquoi es-tu là ? Depuis combien de temps es-tu chez nous ? Qu'as-tu entendu ? Qui t'envoie ?
Paniqué(e), plus rien n'a de sens . Terrorisé (e) par ces deux masses, j'articule que j'ai du me tromper. Je pense à mon père, qui me crierait , cesse d'être un (e) poltron (ne), assume ! Je ne sais plus quoi faire, figé (e), mon cœur s'affole, je suis épouvanté (e). Puis dans une précipitation, je me mis à courir, courir, les escaliers descendus, comme poussé (e) par quelque chose, ça y est, je suis dehors. Inutile de dire à quel point, je me trouve idiot (e) d'y être allé (e) seul (e). Plus jamais, je ne recommencerai .