Sagot :
Réponse :
Texte 1 : "ne (...) rien" x3 ces négations sont toutes des adverbes
"ne (...) pas" x2 les deux derniers, c'est la même chose, le second
"n' (...) pas " x3 s'emploi juste devant une voyelle
Texte 2 : "n' (...) pas"
"n' (...) jamais" "non" "ne (...) pas" "non" n' (...) pas" "ne (...) pas" "n' (...) jamais" "ne" "ne (...) pas" "point" x3 "ni" "point" x3 "aucune" "n' "
- ne (...) jamais ; n' (...) jamais
- ne (...) pas ; n' (...) pas
- point (ancien) ; aucune (déterminant)
- ni (conjonction de coordination)
- ne
Dans le premier texte, l'écrivain joue avec la répétition de la négation pour créer un portrait négatif et plutôt déprimant de lui, sa personnalité ne correspondait pas à ses attentes : "je ne suis rien" et il a voulu ou paraissait être quelqu'un d'autre : "on m'a pris pour ce que je n'étais pas". Par cette utilisation, il se rabaisse et se fond dans la masse anonyme.
A l'inverse, dans le second texte, la narratrice utilise la négation pour se valoriser, se démarquer : "la seule mise au monde pour ne pas écrire". Elle tourne son incapacité à la littérature en une caractéristique personnelle et une fierté de na pas faire comme tout le monde : "point d'électricité"