Blanches de Rionne, la tête appuyée sur des oreillers, se tiendra assise les yeux grands ouverts, regardant l'ombre. La clarté pâle éclairera sa face amaigrie : ses bras nus s'allongeront sur le drap : ses mains s'agiteront et tordront la toile. Et, muette , les lèvres ouvertes , la chair secouée par de longs frissons, elle songera en attendant la mort , roulera la tête avec lenteur comme font les mourants.