Sagot :
Réponse et explications (en italique) :
Les trois niveaux de biodiversité sont :
- écosystème/spécifique/génétique.
La diversité spécifique correspond :
- à la diversité d'espèces différentes.
L'ensemble des caractères d'un Individu est appelé :
- le phénotype.
Les différentes versions d'un gène sont appelées :
- allèles.
Le chien et le chat n'appartiennent pas à la même espèce car :
- ils ne peuvent pas se reproduire.
La méthode des quadrats répertorie :
- la richesse spécifique.
Une mutation est définie comme :
- un changement dans une séquence nucléotidique.
VRAI ou FAUX
- La diversité intraspécifique est égale au nombre d’espèces présentes dans un milieu donné. FAUX
- Exemple des coccinelles : Chez les coccinelles arlequin, plus de 200 motifs différents sur les élytres (les ailes dures qui couvrent le corps) ont été décrits. Il n’en existe qu’un chez les coccinelles à sept points. On appelle diversité intraspécifique les différences (visibles ou non) qui existent entre les individus d’une même espèce.
- La grande majorité des espèces est connue actuellement. FAUX
- Globalement, la biodiversité est la même partout sur la planète. FAUX
- La notion d'espèce est un concept Inventé par l’être humain. VRAI
- Il existe des méthodes permettant de décrire la biodiversité d'un milieu. VRAI
- La diversité génétique est indépendante des mutations de l'ADN. FAUX
Le terme biodiversité est utilisé pour désigner la diversité du vivant.
- Elle peut être décrite à trois échelles : les variations entre membres d’une même espèce (diversité génétique ou intraspécifique), la diversité des espèces (diversité spécifique) et celle des écosystèmes VRAI
- La notion d’espèce, qui joue un grand rôle dans la description de la biodiversité observée, est un concept créé par l’être humain VRAI
- La définition utilisée aujourd’hui utilise le critère biologique d’interfécondité FAUX
L’interfécondité ne permet pas de dire qu’il s’agit de mêmes espèces tandis que la non-interfécondité suffit à dire qu’il s’agit d’espèces différentes.
- Cette définition a cependant des limites et ne peut donc pas toujours être utilisée VRAI
Au sein de chaque espèce, la diversité des individus repose sur la variabilité de l'ADN : les allèles .
- Ces derniers produisent de nouveaux individus qui peuvent coexister dans une même population VRAI
Un allèle (abréviation d'allélomorphe) est une version variable d'un même gène, c'est-à dire une forme variée qui peut être distinguée par des variations de sa séquence nucléotidique. Il existe généralement un (haploïdie) ou deux allèles (diploïdie) pour chaque gène, mais certains gènes (par exemple ceux du CMH) possèdent plusieurs dizaines d'allèles. Les allèles d'une paire de chromosomes homologues peuvent être identiques, c'est l'homozygotie, ou différents, c'est l'hétérozygotie.
C'est ainsi qu'au sein d'une même espèce, le génome d'un individu est différent de celui d'un autre individu, c'est le polymorphisme génétique. Ce polymorphisme est également dû à l'apparition de mutations qui sont des variations de la séquence nucléotidique. Il peut donc exister dans les populations naturelles plusieurs séquences différentes d'ADN pour un même locus.
- La diversité des allèles peut être différente d’une population à l’autre VRAI
Au sein d'une espèce, tous les individus possèdent les mêmes gènes mais leur combinaison d'allèles est unique. Ceci est à l'origine de la diversité génétique. ... Les fréquences alléliques peuvent être différentes d'une population à une autre au sein d'une même espèce, et ce de façon aléatoire. C'est la dérive génétique.
Voilà, j'espère avoir pu t'aider efficacement...
Si c'est le cas et que tu es satisfait par mes réponses, n'hésite pas à le faire savoir ;-) ... merci par avance et bon courage !