Bonjour svp j'ai besoin d'aide pour cette exercice de français.
merci d'avance :)

a. Récrivez ce texte en conjuguant les
verbes à l'imparfait ou au passé simple.
b. En binôme,
validez vos réponses en les justifiant.**

Je (ouvrir) la porte sans peine. L'appartement (être) telle-
ment sombre que je m'arrêter) sur le seuil. Puis, mes yeux
(s'habituer) a l'obscurité et je (distinguer) une grande pièce
en désordre. Je (s'approcher) : le lit n'avoir) pas de draps,
mais l'oreiller (porter) une empreinte: une tête (sembler)
s'être posée dessus. Comme je n'y (voir) pas suffisamment,
je (vouloir) ouvrir la fenêtre. Tout à coup, je (croire) entendre
ou plutôt sentir un frôlement derrière moi : mon regard
(se poser) sur une grande femme vêtue de blanc qui me
(regarder) fixement. Une telle secousse me (parcourir) que
je (faillir) m'abattre à la renverse!​

Sagot :

Bonjour,

a. J'ouvris la porte sans peine. L'appartement étais tellement sombre que je m'arrêtais sur le seuil. Puis, mes yeux s'habituèrent à l'obscurité et je distinguai une grande pièce en désordre. Je m'approchai: le lit n'avait pas de draps, mais l'oreiller portait une empreinte: une tête semblait s'être posée dessus. Comme je n'y voyais pas suffisamment, je voulus ouvrir la fenêtre. Tout à coup, je crus entendre ou plutôt sentir un frôlement derrière moi: mon regard se posa sur une grande femme vêtue de blanc qui me regardait fixement. Une telle secousse me parcourut que je faillis m'abattre à la renverse.

En espérant t'avoir aidé,

Réponse :

Bonsoir,

Explications :

L’imparfait est utilisé pour décrire un lieu, une personne... et pour une habitude.

Le passé simple est utilisé pour une action.

J’ouvris la porte sans peine. L’appartement était tellement sombre que je m’arrêtai sur le seuil. Puis, mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je distingua une grande pièce en désordre. Je m’approcha : le lit n’avait pas de draps, mais l’oreiller portait une empreinte : une tête semblait s’être posée dessus. Comme je n’y voyais pas suffisamment, je voulais ouvrir la fenêtre. Tout à coup, je crus entendre ou plutôt sentir un frôlement derrière moi : mon regard se posa sur une grande femme vêtue en blanc qui me regardait fixement.  Une telle secousse me parcourut que...