Bonjour, Redaction : dans lequel vous décrivez un personnage exerçant un métier pénible :montrez les gestes professionnels et les signes de fatigues et imaginez un court dialogue entre les deux repasseurs​

Sagot :

Encore une journée de travail, dans ces mines noirs, boueuse, ou nous sommes vêtu de bottes en tissus et d'une épaisse veste venant d'une brocante, peu un porte ces vêtements n'ont pas de valeurt leur prix est seulement de quelques francs. Une journée de travailles est équivalent à deux baguettes de pain, on se tue ici, les petits qui viennent a peine d'atteindre leurs puberté sont envoyé dans ces foutus grottes souterraines soi-disant pour trouver de l'or. On en trouve de l'or et même des fois on en glisse quelques pépites dans nos vestes, mais a la sortie on est fouillée et alors ils trouvent les pépites d'or et nous donnent des coups, on a même essayé la méthode de les mettres dans nos caleçons. On a les os sur la peau, d'autres nous donnent des coups de fouet si on obéit pas, on pousse des chariots remplis d'or et de pierre dans des tout petits tunnels, heureusement qu'ont ai maigres sinon on ne passerai pas, on est tout le temps crispés qu'on a le dos tout deformer et doulheureux. A la maison il n'y a que des enfants mêmes nos femmes sont envoyés travailler sinon on meurt, nos enfants meurts. Combien de fois ai-je trouvé des corps sans aucun signe de vie, soit il mourrait d'une maladie attrapé mar la morsure d'un rat, soit il ont volé de l'or est on leurs a soummit de gros dégâts ou sinon c'était la faim. Je me souviens de ce petit tout petit et maigre, il était maigre mais beau, il souriait souvent c'est ce que j'aimais chez lui, il travailler avec nous pour aider son pere car sa mère était enceinte. Un jour je l'ai vue se faire fouetter plusieurs fois, mais il a seulement souri, sauf que la personne qui l'avait fouetter était notre general, il prit se sourire comme un signe de révolte ou d'impolitesse alors il le frappa et le le frappa, le petit avait la peau qui se décollait mais il souriait, j'ai essayé d'intervenir mais derrière moi mon amie Chris m'a empêché d'y aller. Le petit était mutilée en une grosse masse, il pleurait et souriait, je me suis approche de lui et il ma dit "Ma maman accouche se soir, je vaut etre grand frère, papa m'a dit que si je souriai pas ça portail malheur, alort j'ai sourit pour que maman ne fasse pas une fausse couche, meusieur j'ai mal est ce que je vais voir maman se soir ?" je lui repond "oui tu va le voir petit ". Au fond il était jeune mais il était beaucoup plus mature que nous, depuis ce jour j'ai décidé de sourire car il avait raison le sourire donne l'espoir et l'espoir donne la récompense, même si un jour je mourrerai comme tout les autre dans ces foutus mines que je déteste ce saura un honneur, un honneur d'avoir servi pendant ma courte vie, un honneur de témoigner l'acte de mes camarades malgré le fait que se boulot soit douloureux a pratiquer.