Sagot :
1 - J’alla a cette malheureuse femme de soixante ans,et la plaigna dans son âme lorsqu’elle me dit a l’oreille.Y a t’il rien de si ridicule ?Voyez-vous cette femmes qui a quatre vingts ans et qui mis des rubans de couleur de feu;elle voulu fair la jeune et elle y réussit:car cela approche de l’enfance.Ah!bon dieu dis-je en moi-même ne sentions-nous jamais que le ridicule des autres? C’est peut être un bonheurs dis-je ensuite que nous trouvions de la consolation dans les faiblesse d’autrui.Mon chère Raca les femmes qui se sentais finir d’avance par la perte de leurs agrément voudrais reculer vers la jeunesse.Eh!comment ne chercherais-elles pas à tromper elles-mêmes et pour se dérouler à la plus affligeante de toute les idées.
2 - J’allais a cette malheureuse femme de soixante ans,et la plaignais dans son âme lorsqu’elle me dit a l’oreille.Y a t’il rien de si ridicule ?Voyez-vous cette femmes qui a quatre vingts ans et qui metait des rubans de couleur de feu;elle voulait fair la jeune et elle y réussisait:car cela approche de l’enfance.Ah!bon dieu disais-je en moi-même ne sentirions-nous jamais que le ridicule des autres? C’est peut être un bonheurs disais-je ensuite que nous trouvions de la consolation dans les faiblesse d’autrui.Mon chère Raca les femmes qui se sentaient finir d’avance par la perte de leurs agrément voudraient reculer vers la jeunesse.Eh!comment ne chercheraient-elles pas à tromper elles-mêmes et pour se dérouler à la plus affligeante de toute les idées.