Sagot :
Réponse : attention, ceci n'est qu'un exemple :
1) dans la première case, on reconnait le juge par sa tenue, le condamné qui à la tête basse et derrière, un prêtre avec la soutane et une croix.
2) ce qui est choquant dans la case 2, c'est que le prêtre joue aves sa croix et l'utilise comme un avion alors que dans la religion, la croix est un objet sacré, de culte.
3) dans la troisième case, le cadrage en contre-plongée donne à la guillotine un aspect démesurément grand pour renforcer le sinistre de la situation .
4) La situation finale peut paraitre légale car cela suit trait pour trait la loi énoncée dans la première case, cependant, elle est absurde car dans ce cas, la boucle est éternelle et tout le monde y passe. De plus, ici, c'est le devoir du bourreau
5) Franquin marque la chute de son récit par une suite continuelle du meme dessin (répétition)
je ne suis pas sur de la dernière
Explications :
NB c'est pour cela que normalement le bourreau porte une cagoule pour ne pas etre reconnu et accusé