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Slt j'ai un devoir a faire mais je n'y arrive pas j ai besoin de votre aide svp je doit terminer cette histoire en 30, 35 ligne svpppp aider moi

Voici un début de texte qui traite justement de cette période de l’enfance (par laquelle nous sommes tous passés, souvenez-vous...). Imaginez la suite de ce texte (police: Calibri, taille 12) . Votre proposition ne dépassera pas 30 lignes. Prenez plaisir à écrire !

Dans son roman Le Premier Homme, Albert Camus raconte son enfance en Algérie dans les années 1920. Il s’est représenté dans le personnage de Jacques et évoque ici les jeux qu’il partage avec ses camarades.

Tous les jours, à la saison, un marchand de frites activait son fourneau. La plupart du temps, le petit groupe n’avait même pas l’argent d’un cornet. Si par hasard l’un d’entre eux avait la pièce nécessaire, il achetait son cornet, avançait gravement vers la plage, suivi du cortège respectueux des camarades et, devant la mer, à l’ombre d’une vieille barque démantibulée, plantant ses pieds dans le sable, il se laissait tomber sur les fesses, portant d’une main son cornet bien vertical et le couvrant de l’autre pour ne perdre aucun des gros flocons croustillants. L’usage était alors qu’il offrît une frite à chacun des camarades, qui savourait religieusement l’unique friandise chaude et parfumée d’huile forte qu’il leur laissait. Puis ils regardaient le favorisé qui, gravement, savourait une à une le restant des frites. Au fond du paquet, restaient toujours des débris de frites. On suppliait le repu de bien vouloir les partager. Et la plupart du temps, sauf s’il s’agissait de Jean, il dépliait le papier gras, étalait les miettes de frites et autorisait chacun à se servir, tour à tour, d’une miette. […] Le festin terminé, plaisir et frustration aussitôt oubliés, c’était la course vers l’extrémité ouest de la plage, sous le dur soleil, jusqu’à une maçonnerie à demi détruite qui avait dû servir de fondation à un cabanon disparu et derrière laquelle on pouvait se déshabiller. En quelques secondes, ...

Sagot :

EMUNOZ

Réponse : ils etaient changé, ils couraein vers la plage et se baigner jusqu’à la tombé de la nuit. Ensuite ils rentré chez eu, mangétait là pauvre petite assiette qu’ils avaient. Le lundi n’ayant pas assez d’argent pour se payer une place à l’école ils allaient voir le vieux du village surnommait par tout le monde « le vieux fou ». Mais les enfants l’adoraient, il leur racontait des histoires qui faisaient vibrer les enfants. A neuf heures ils devaient rentré chez eu pour aller récupérer les paniers et les sacs pour récupérer tous se qu’ils trouvaient pour le revendre. C’est ainsi que ce composait leur semaine jusqu’a ce que le vendeur de frites offre le stand à jean qui par générosité en offret à tous ses copains pour se faire pardonner de ses erreurs passé, maintenant il donne des frites à tous les groupes d’enfants démunis qu’il croisent.

Explications : j’espère t’avoir aider, bonne soirée.

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