Bonjour à tous pourries vous répondre à cet qeustions pour m'a petit soeur de 6ème silvoupler :) voici la consigne. Le texte suivant est un sonnet dont tous les vers se sont collés les uns aux autres . Recopier le texte de manière à faire réapparaître la mise en page du sonnet . Les rimes sont embrassées dans les deux premières strophes, puis suivies et enfin croisées. Les vers sont des alexendrins. N'oubliez pas là majuscule au début des vers . :)voici le texte. Lorsque m'a soeur et moi , dans la forêts profondes , nous avions déchiré nos pieds sur des cailloux , en nous baisant au front tu nous appelais fous , après avoir maudit nos courses vagabondes . Puis , comme vent d'été confond les fraîches ondes de deux petits ruisseaux sur un lit calme et doux ,lorsque tu nous tenais tous deux sur t'es genoux , tu mêlais en riant nos chevelures blondes .Et pendant bien longtemps nous restions là blottis , heureux,et tu disais parfois :Ô chers petits . Les jours se sont enfuis , d'un vol mystérieux, mais toute la jeunesse éclatente et vermeille fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux . Fin merci d'avance:)

Sagot :

Réponse :

bonjour

Explications :

Lorsque ma soeur et moi , dans la forêt profonde

Nous avions déchiré nos pieds sur des cailloux ,

En nous baisant au front tu nous appelais fous

Après avoir maudit nos courses vagabondes .

Puis , comme le  vent d'été confond les fraîches ondes

De deux petits ruisseaux sur un lit calme et doux ,

Lorsque tu nous tenais tous deux sur tes genoux ,

Tu mêlais en riant nos chevelures blondes .

Et pendant bien longtemps nous restions là blottis ,

Heureux, et tu disais parfois :Ô chers petits .

Les jours se sont enfuis , d'un vol mystérieux,

mais toute la jeunesse éclatante et vermeille

Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux

Il manque un vers !! + attention aux  fautes d'orthographe...!!

Réponse :

Bonjour

Explications :

Recopier le texte de manière à faire réapparaître la mise en page du sonnet .

Lorsque ma soeur et moi, dans les forêts profondes,

Nous avions déchiré nos pieds sur les cailloux,

En nous baisant au front tu nous appelais fous,

Après avoir maudit nos courses vagabondes.

Puis, comme un vent d’été confond les fraîches ondes

De deux petits ruisseaux sur un lit calme et doux,

Lorsque tu nous tenais tous deux sur tes genoux,

Tu mêlais en riant nos chevelures blondes.

Et pendant bien longtemps nous restions là blottis,

Heureux, et tu disais parfois : Ô chers petits.

Un jour vous serez grands, et moi je serai vieille !

Les jours se sont enfuis, d’un vol mystérieux,

Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille

Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux.