Sagot :
Salut !
Il y a quelques fautes notamment sur les imparfaits que tu n’as pas bien repérés : j’habitais (tu as écris j’habiter ) ou encore, je m’allongeais ( tu as écris m’allongée ) .
Une petite faute également sur le mot « après-midi »
Pas besoin de dire que l’herbe TE paraissait douce et agréable , dit juste cette herbe qui paraissait si douce et agréable .
La partie ou tu dis « et le vent qui soufflait dans mes cheveux bruns » n’a pas de sens car on attend une suite ( en plus ta phrase est trop longue, mieux vaut en faire deux ). Tu devrais plutôt essayer de dire :
... cette herbe qui paraissait si douce et agréable . Je ressentais une sensation de plaisir lorsque le vent soufflait dans mes long cheveux bruns .
Il y a quelques fautes notamment sur les imparfaits que tu n’as pas bien repérés : j’habitais (tu as écris j’habiter ) ou encore, je m’allongeais ( tu as écris m’allongée ) .
Une petite faute également sur le mot « après-midi »
Pas besoin de dire que l’herbe TE paraissait douce et agréable , dit juste cette herbe qui paraissait si douce et agréable .
La partie ou tu dis « et le vent qui soufflait dans mes cheveux bruns » n’a pas de sens car on attend une suite ( en plus ta phrase est trop longue, mieux vaut en faire deux ). Tu devrais plutôt essayer de dire :
... cette herbe qui paraissait si douce et agréable . Je ressentais une sensation de plaisir lorsque le vent soufflait dans mes long cheveux bruns .
Bonjour,
Quand j'avais huit ans, j'habitais dans un petit village à la campagne, un endroit que j'affectionne particulièrement.
Chaque après-midi je m'allongeais sur l'herbe, dans une prairie, et je caressais cette herbe qui me paraissait si douce et agréable, comme le vent qui soufflait dans mes cheveux bruns. A l'horizon/Autour de moi -je préfère la deuxième tournure, mais les deux marchent- il n'y avait que des champs, dont l'odeur du foin parvenait jusqu'à moi. Je contemplais avec mes yeux pétillants de bonheur ce magnifique ciel bleu. -je trouve que ça rend mieux dans ce sens-
Quand je finissais de m'émerveiller -pour éviter la répétition- de tout cela, je me dirigeais toujours avec mes parents vers un petit étang non loin de là, où se trouvaient les myrtilles dont je raffolais ! Lorsque je me rappelle ce goût sucré et légèrement acide, beacoup de souvenirs me reviennent, de cet endroit dont je n'oublierai -futur donc pas de -s final- jamais les merveilleux moments que j'y ai passé avec ma famille.
Voilà je crois que c'est tout!