Sagot :
Réponse :
Dans le fiacre qui nous ramena, nous ne disons pas un mot ; le choc avait été si violent que pendant vingt quatre heure il fût impossible de nous arracher une paroles ; nos mères, complètement désorientées, se demandaient si nous n'étions pas muets. Tout ce que nous nous rappelions de la période qui suivit immédiatement l'opération, c'est le retour en fiacre, les vaines tentatives de nos parents pour nous faire parler, puis à la maison : nos mères nous tenant dans leurs bras devant la cheminée du salon, les sorbets qu'on nous faisaient avaler, le sang qu'à diverses reprises nous dégurgitions et qui se confondait pour nous avec la couleur fraise des sorbets.
Explications :
Voilà, j’espère que j'ai pu t'aider.