Réponse :
Tais-toi, ton bavardage me fatigue d'autant que tu parles pour ne rien dire : jamais une information, jamais un avis, tu te contentes de dire ce que tu fais mais est-ce si important pour que tu monopolises sans cesse notre attention et puis nous aimons le silence, nous aimons la musique mais ta logorrhée devient une vraie maladie qui empêche ton entourage de respirer, de penser alors que chacun a ses activités, tu es toujours là comme le centre du monde et tu me fais penser au canari de ma grand-mère qui s'animait dès qu'il y avait du monde alors elle avait un truc imparable : elle mettait un torchon sur sa cage, je rêve de mettre un torchon sur ta tête pour qu'elle se repose enfin. Tais-toi !