Pour comprendre dans toute sa complexité le rôle de l’évaluation dans le monde contemporain, il ne faut surtout pas se limiter à la comprendre comme une simple techniques de gestion technique correctives des actions prévues de leurs résultats mais comme la mise en place d’une véritable nouvelle philosophie du gouvernement. Ça Puillon sur les principes simples, parfois évident quand il s’inscrivent en appartenances dans la continuité de la dimension est flexible propre à toute action humaine, la philosophie de l’évaluation c’est plus sur une série d’amalgame très discutable entre différentes réalité. Le mot désigne à la fois l’expertise académique dans l’article est un contrôle de normes de qualité dans la processus productif une autre le bain ne sont que générale application et les résultats annuels d’un salarié et le suivi hebdomadaire ou trimestrielle du chiffre d’affaires d’une organisation un indice de satisfaction des usagers un service social et une notation orientant l’investissement financier une épreuve standardisé pour comparer les compétences scolaires des élèves et un bilan d’étape provisoire des premiers résultats d’une politique publique, etc. C’est la première désillusion de la philosophie de l’évaluation que de laisser supposer une ressemblance entre toutes ces activités. Et par conséquent, la première étape de toute critique de l’évaluation consiste à défaire ses amalgame, afin de voir, pour chacune de ses définitions, ses zones d’arbitraire ou ses aspects nuisibles. Plus encore : il faut surtout apprendre À distinguer c’est une relève du fonctionnement effectif de l’évaluation et ce qui revient en propre à la formation d’une nouvelle imagerie de puissance.
