Orthographe / Conjugaison
Exercices de réécriture
Dominante : les temps composés
1. Réécrivez ce texte au passé composé de l'indicatif en remplaçantai > parje feminine
Vous ferez toutes les modifications qui s'imposent
Les nerfs un peu ébranlés, il prend la résolution de s'en aller. Il tire sur la chaine ; le cannot se
met en mouvement. Mais il perçoit une résistance et l'ancre ne vient pas : elle s'accroche à
quelque chose au fond de l'eau et il ne peut la soulever: il recommence à tirer, mais inutilement
Alors, avec ses avirons, il fait tourner son embarcation et il la porte en amont pour changer la
position de l'ancre. En vain. Il est pris de colère et secoue la chaine rageusement. Rien ne remue.
Alors il s'assoit découragé et se met à réfléchir sur sa position
2. Récrivez ce passage au futur antérieur de l'indicatif en remplaçant je perilo
faisant toutes les modifications nécessaires
Pour résoudre mon problème, je réfléchis longtemps aux différentes options possibles. Je fais
de nombreuses recherches puis je sollicite l'aide de mes amis. Ensemble, nous multiplions les
tentatives et prenons des risques considérables sans penser un seul instant aux conséquences
possibles de notre obstination.
3. Réécrivez ce passage au plus-que parfait de l'indicatif en remplaçant l'enfant per les
trois enfants et en faisant toutes les modifications nécessaires
L'enfant bifurqua vers l'extrémité du plateau et se coula entre les arbustes Couinant sous ses
pas, la neige s'accrochait aux clous de ses sabots et lui faisait de grosses et lourdes semelles
blanches; il s'arrêtait souvent choquait ses pieds l'un contre l'autre pour décoller la neige, puis
repartait lentement sans se décourager.
4. Réécrivez ce passage au plus-que-parfait de l'indicatif en faisant toutes les modifications
nécessaires
Le livre ouvert, elle me lisait des histoires. Puis elle m'emmenait promener jusqu'au pont pour
regarder la rivière. La nuit venait... Malgré bonnets de laine et peaux de mouton, nous
grelottions. Ma mère restait un instant tournée vers le sud, comme si elle attendait quelqu'un.
Frigorifié et impatient, je la tirais par la main, pour retoumer vers la maison.


Sagot :

Réponse :

1. Les nerfs un peu ébranlés, j' ai pris la résolution de m' en aller. J' ai tiré sur le chaîne ; le canot s' est mis en mouvement. Mais j' ai perçu une résistance et l' ancre n' est pas venue ; elle s' est accrochée à quelque chose au fond de l' eau et je n' ai pu la soulever ; j' ai recommencé à tirer, mais inutilement.

Alors, avec mes avirons, j' ai fait tourner mon embarcation et je l' ai portée en amont pour changer la position de l' ancre. En vain. J' ai été prise de colère et j' ai secoué la chaîne rageusement. Rien n' a remué.

Alors je me suis assise découragée et me suis mise à réfléchir sur ma position.

2. Pour résoudre son problème, il aura réfléchi longtemps aux différentes options possibles. Il aura fait de nombreuses recherches puis il aura sollicité l' aide de ses amis. Ensemble, ils aurons multiplié les tentatives et auront pris des risques considérables sans penser un seul instant aux conséquences possibles de leur obstination.

3. Les trois enfants avaient bifurqué vers l' extrémité du plateau et s' étaient coulés entre les arbustes. Couinant sous leurs pas, la neige s' était accrochée aux clous de leurs sabots et leur avait fait de grosses et lourdes semelles blanches ; ils s' étaient arrêtés souvent, avaient choqué leurs pieds l' un contre l' autre pour décoller la neige, puis étaient repartis lentement sans se décourager.

4. Le livre ouvert, elle avait lu des histoires. Puis elle m' avait emmené promener jusqu' au pont pour regarder la rivière. La nuit était venue... Malgré bonnets de laine et peaux de mouton, nous avions grelotté. Ma mère était restée un instant tournée vers le sud, comme si elle avait attendu quelqu' un.

Frigorifié et impatient, je l' avais tirée par la main, pour retourner vers la maison.

Explications :