Sagot :
Bonsoir
« Je demandai à Hans
de s'asseoir et je lui dis que j'avais à lui parler.
Ce que j'allais lui dire, lui causerait
un choc. Sa mère et moi avions décidé de l'envoyer
en Amérique, pour l'instant en tout cas, jusqu'à ce que la
tempête se soit calmée. Nos parents à New York s'occupe-
raient de lui et feraient en sorte qu'il aille à l'université. Nous
croyions que c'était ce qui vaudrait le mieux pour lui . Il ne m'avait
pas parlé de ce qui s'était passé au lycée, mais nous pouvions
imaginer que cela n'avait pas été facile pour lui. [...] Oh, la séparation ne serait pas longue ! Nos compatriotes reviendraient
à la raison [...]»