Sagot :
Réponse :
NASA, which plans to return to the Moon in 2024 by sending a crew of a woman and a man to the South Pole, could review its plans. Its boss, Jim Bridenstine, raised the idea of a landing near one of the five sites of the Apollo missions. A statement which obviously does not call into question the long-term American plans providing for the colonization of the lunar south pole.
While current NASA plans call for the Artemis 3 mission to land at the lunar south pole with a crew of two astronauts, Jim Bridenstine, the administrator of NASA, has suggested that this first manned mission might not necessarily land at the pole. South.
The NASA boss made the statement during an online meeting with the NASA Lunar Exploration Coordination Group: "It might be beneficial to send a mission to the equatorial regions of the Moon, and why not near one of the five landing sites of the Apollo program ”.
This statement obviously does not call into question the long-term plans of NASA which provides for the installation of a manned base at the South Pole. This region of the Moon has many advantages for accommodating humans. Certain places benefit from almost permanent sunshine, which presents a considerable advantage in terms of energy production by means of solar panels. And others are home to many craters whose floors never see the light of day, potentially harboring thick deposits of ice several meters thick sometimes. The South Pole is also of great scientific interest but also economically strategic because of the exploitation of its resources.
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Explications :
je te mets la traduction en Français en dessous ⬇⬇⬇
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La Nasa, qui prévoit de retourner sur la Lune dès 2024 en envoyant au pôle sud un équipage composé d'une femme et d'un homme, pourrait revoir ses plans. Son patron, Jim Bridenstine, a évoqué l'idée d'un atterrissage à proximité d'un des cinq sites des missions Apollo. Une déclaration qui ne remet évidemment pas en cause les plans américains de long terme prévoyant la colonisation du��pôle sud lunaire.
Alors que les plans actuels de la Nasa prévoient que la mission Artemis 3 atterrisse au pôle sud lunaire avec un équipage de deux astronautes, Jim Bridenstine, l'administrateur de la Nasa, a suggéré que cette première mission habitée pourrait ne pas forcément atterrir au pôle sud.
Le patron de la Nasa a fait cette déclaration lors d'une réunion en ligne réunissant le groupe de coordination de l'exploration lunaire de la Nasa : « Il pourrait être avantageux d'envoyer une mission dans les régions équatoriales de la Lune, et pourquoi pas à proximité d'un des cinq sites d’atterrissages du programme Apollo ».
Cette déclaration ne remet évidemment pas en cause les plans à long terme de la Nasa qui prévoit l'installation d'une base habitée au pôle sud. Cette région de la Lune présente de nombreux avantages pour accueillir des humains. Certains endroits bénéficient d'un ensoleillement quasi permanent, ce qui présente un atout considérable en matière de production d'énergie au moyen de panneaux solaires. Et d'autres abritent de nombreux cratères dont les planchers ne voient jamais la lumière du jour, recélant potentiellement d'épais dépôts de glace de plusieurs mètres d'épaisseur parfois. Le pôle sud est aussi d'un très grand intérêt scientifique mais aussi économiquement stratégique en raison de l'exploitation de ses ressources.