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Bonjour je bloque en francais je ne colprend rien du tout merci pour tout et toute les personne qui vont maider merci davance voici mon devoir Dans les quatre premiers paragraphes de la nouvelle « Aux Champs »

A.les deux familles sont elles pauvre ou riches? Relevez trois mots appartenant au champs lexical de la pauvreté.
B.A quoi sont compares les deux enfants? Justifiez votre réponse en citant le texte.
C.Expliquez la relation qu’entretiennent les parents avec leurs enfants dans ces deux familles.

« Par un apres-midi du mois d’aôut »:

A.Quels personnages apparaissent?Que veulent-ils?Justifiez votre réponse en citant le texte.
B.Quel marché proposent-ils aux deux familles?Comment reagit chacun des familles?
C.Que pensez vous de chacune des reactions?
D.Recopiez une replique prononcee au discourts direct par la mere Tuvache et une replique prononcee par madame d hubieres .
E.Comparez les deux.

« On entendit plus du tout parler du petit jean Vallin »:

A.Pourquoi les Tuvache se croient-ils »supérieurs a toute la contree? »
B.Lorsque jean vallin revient,quel type d’homme est-il?Citez le texte pour justifier votre réponse.
C.Comment reagit Charlot Tuvache?Expliquer sa reaction.

Lecture d’ensemble:
Bonjour pouvez-vous maider en francais je bloc svp merci davance voici mon sujet
A.Donnez deux points communs entre cette nouvelle et la parure.
B.Porquoi peut on dire que ce texte est une nouvelle realiste?

Sagot :

Bonjour,

-Dans la nouvelle "Aux Champs" de Maupassant, les deux familles, les Tuvaches et les Vallin sont pauvres. Les enfants sont dans ce texte comparés à des oies, comme le montre "les ménagères réunissaient leurs mioches pour donner la pâtée, comme des gardeurs d'oies assemblent leurs bêtes."

On peut donc dire que les parents n'ont pas vraiment de relation avec leurs enfants, comme c'est le cas dans les familles aujourd'hui. Les mères s'en occupent, mais par exemple, les pères ne conaissent même pas les prénoms de leurs enfants, comme le montre "Les deux mères distinguaient à peine leurs produits dans le tas ; et les deux pères confondaient tout à fait."

- A partir de "Par un après midi du mois d'août", monsieur et madame d'Hubières apparaissent. Ils semblent vouloir adopter l'un des deux petits derniers des deux familles "Oh ! comme je voudrais en avoir un, celui-là, le tout petit."

Les Tuvaches ne veulent pas que cette femme emporte Charlot, leur dernier enfant.

Les Vallin acceptent l'offre de la femme et "donnent" leur petit Jean.

(à toi de dire ce que tu en penses)

Mère Tuvache: "Vous voulez nous prend'e Charlot ? Ah ben non, pour sûr."

Mme d'Hubières: "Nous n'avons pas d'enfants ; nous sommes seuls, mon mari et moi... Nous le garderions... voulez-vous ?"

Les Tuvache parlent leur patois, madame d'Hubière semble plus aisée, parle mieux.

-A partir de "On entendit plus du tout parler du petit Jean Vallin", les Tuvache se croient supérieur car ils n'ont pas "donné" leur petit dernier. Ils pensent que Charlot est bient plus heureux ici qu'il ne l'aurait été avec les d'Hubières, et que Jean est malheureux. Pour les Tuvache, les Vallin sont des traîtres d'avoir "donné" leur fils.

Lorsque Jean revient, il a réussit sa vie, il a grandit et est heureux, veut revoir sa famille "Un jeune monsieur, avec une chaîne de montre en or, descendit, donnant la main à une vieille dame en cheveux blancs."

Charlot Tuvache tombe dans une colère noire. Cette vie lui était destinée, il se retrouve maintenant seul avec ses deux parents à être dans la misère.

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