Sagot :
BONJOUR
Réponse :
Identifier les sentiments
1. Quels sentiments le poète éprouve-t-il ?
Le poète éprouve des sentiments variés dans ce poème. Tout d'abord, il éprouve une certaine attirance envers cette passante dans la 1ère strophe : "une femme passa". Puis, il est envouté par son regard dans la seconde et la 3ème strophe : "dans son oeil", "le regard". Enfin, il éprouve de la déception car la passante disparaît : "fugitive beauté", "j'ignore où tu fuis".
2. A qui le poète s'adresse-t-il ?
Le poète s'adresse à la passante en utilisant la 2e personne du singulier : "te", "tu", "toi".
Comment le poète parvient-il à faire naître des sentiments ?
3. Dans quel lieu le poète observe-t-il la jeune femme ? Quelle est la figure de style utilisée au vers 1 ? Ce lieu semble-t-il agréable ?
Le poète observe la jeune femme dans une rue sur une terrasse d'un bar ("je buvais"). Il utilise une personnification en attribuant à une chose inanimée, la "rue", un comportement humain, le fait de hurler. Cette personnification est renforcée par l'adjectif "assourdissante" et elle rend donc désagréable le bruit entendu dans la rue.
4. Relevez les détails qui caractérisent la passante.
La passante est qualifiée de : "longue", "mince", "en grand deuil", "agile et noble". Ces termes permettent de se représenter la jeune femme qui semble être grande et élégante, mais elle parait aussi triste.
5. Quelle est la forme de ce poème ?
Ce poème est un sonnet car il est composé de 2 quatrains et de 2 tercets.
6. Quel changement remarquez-vous dans la ponctuation ?
On remarque que la ponctuation est plus expressive dans les 2 dernier tercets avec des points d'exclamation, de suspension et d'interrogation. Le poète s'exclame, s'interroge, s'inquiète car cette femme s'éloigne sans qu'il ne puisse l'aborder.
7. Relevez le vocabulaire de la souffrance et de la mort ?
Le vocabulaire ou le champ lexical de la souffrance et de la mort est : "hurlait", "deuil", "douleur", "livide", "qui tue", "éternité".
8. Quelle assonance est présente au vers 9 ? A quel sentiment peut-on l'associer ?
On remarque une assonance en "i" au vers 9 : Un éclair ... puis la nuit ? Fugitive beauté". Cette assonance nous font entendre les cris du poète et donc de sa souffrance.
Analyser la vision du poète
9. Quelle comparaison le poète utilise-t-il pour se décrire ? Que révèle-t-elle ?
Le poète utilise la comparaison : "Moi, je buvais, crispé comme un extravagant" pour se décrire. Elle révèle que le poète est paralysé par la beauté de cette femme, au point qu'il en devient ridicule.
10. Expliquez la métaphore
Cette métaphore donne à l'œil de la jeune femme une image désastreuse provoquant un ouragan.