Des et trait, il est question du parcours scolaire de Samira qu'ils parlaient lentement, enfin, pas fort 19 en Algérie , dont le père a emigré en France en 1971 un ami à l'époque qui était vraimen bo wie dans le bâtiment. Après une scolarité dans le quoi ! Alors il vouvoyait ses parents, tout nigde quartier, Samira entre dans un lycée de centreville. Samira découvre aussi les codes vestimentaire Dans ce nouveau lycée de centre-ville, elle fait connais de la bourgeoisie locale (les coupes su camiles sunce avec un monde nouveau et étrange, la bourgeoisie style loden, etc.). C'est d'ailleurs à ce moment locale. 1.] Elle est vivement impressionnée par la coupe sa longue tresse de cheveux noirs et un berute (un mot qui revient souvent dans sa bouche) tard, qu'elle se les teint legerement. Cestum des lieux et des personnes, comme elle le confesse dans le lycee -- ou la tension entre les normes notre premier entretien : dans sa famille et celles qui ont cours dans out ment bourgeois de centre-ville est la plus forte. - Je ne sais pas comment vous dire... (elle hésite) Ah! Jadmiris leur savoir-vivre. Je trouve qu'ils parlaient bien, Stéphane mud, La Prasad Portraits de famille (1927-2017, tam Questions Pour que les raisons le monde de la « bourgeoisie locale >> parait-il étrange à Samira? 2. Pour sa fréquentation du lycée de centre-ville conduit-elle à des tensions avec normes et valeurs en vigueur dans sa famille » ?