Sagot :
Bonsoir,
1) M. Loisel est un petit employé du Ministère de l’Instruction Publique, l’ancêtre de l’Education Nationale. C’est dit au début de la nouvelle.
2) C’est à Mathilde Loisel que s’intéresse le narrateur : elle est très longuement décrite sur le plan psychologique, au début, alors que son mari est à peine évoqué.
3) Les Loisel appartiennent à la petite bourgeoisie, ils ne sont donc absolument pas dans la misère puisqu’ils ont une bonne, mais pour Mathilde qui est ambitieuse et envieuse, c’est très insuffisant.
4) Mathilde « souffre » de son infériorité sociale selon elle, et « songe » (=rêve) sans cesse à ce qu’aurait pu être sa vie dans le monde des gens riches ou de la très haute société. Elle ne sait pas se contenter de ce qu’elle a, et désire toujours plus. C’est pour cela que, pour faire croire qu’elle est aisée, elle veut une robe de grand prix et des bijoux clinquants pour aller au bal.
Bonne soirée !
1) M. Loisel est un petit employé du Ministère de l’Instruction Publique, l’ancêtre de l’Education Nationale. C’est dit au début de la nouvelle.
2) C’est à Mathilde Loisel que s’intéresse le narrateur : elle est très longuement décrite sur le plan psychologique, au début, alors que son mari est à peine évoqué.
3) Les Loisel appartiennent à la petite bourgeoisie, ils ne sont donc absolument pas dans la misère puisqu’ils ont une bonne, mais pour Mathilde qui est ambitieuse et envieuse, c’est très insuffisant.
4) Mathilde « souffre » de son infériorité sociale selon elle, et « songe » (=rêve) sans cesse à ce qu’aurait pu être sa vie dans le monde des gens riches ou de la très haute société. Elle ne sait pas se contenter de ce qu’elle a, et désire toujours plus. C’est pour cela que, pour faire croire qu’elle est aisée, elle veut une robe de grand prix et des bijoux clinquants pour aller au bal.
Bonne soirée !