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Sagot :

OLLIE
Bonsoir,

Voici une suggestion de première partie, bien sûr modifiable à volonté (notamment pour rajouter des exemples précis, par rapport aux textes donnés).

Depuis les années 1950, la population ayant beaucoup augmenté, il a fallu repenser l’urbanisation et multiplier les habitations collectives, comme les résidences et les immeubles par exemple. La densité d’habitants au kilomètre carré a donc elle aussi suivi la même tendance, et cette massification a entraîné à son tour une économie différente : celle des grandes surfaces et des centres commerciaux gigantesques.
On pourrait logiquement penser que la modernisation aurait réglé tous les problèmes de logistique et de gestion.
Or ce n’est pas ce que l’on constate : dans les grandes villes, la solitude ressentie par la population n’a jamais été aussi grande, au point de causer un vrai problème de santé publique. En effet, l’absence de communication pèse beaucoup sur le moral de l’individu : les places publiques des petits villages d’autrefois disparaissent, tout comme les petits commerces de proximité et les petits métiers qui faisaient le lien entre les individus, comme ceux des petits producteurs primeurs ou des concierges.
Cette absence de contact humain est vécue par une partie des individus comme un fardeau qui, insidieusement, les pousse à la dépression, à la solitude, voire au désespoir et au suicide dans les cas les plus extrêmes.
Est-ce une fatalité, le prix à payer pour la modernisation ? L’anonymat de la ville n’offre-t-il que des inconvénients ? N’y a-t-il pas moyen, pour l’habitant, de retourner à son avantage les possibilités offertes par la ville ?

Voilà quelques idées. Bonne soirée !



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