Sagot :
L'anaphore rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie au discours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de créer un effet de symétrie.
Bonjour, il y a, à mon sens, deux procédés dans les dernières strophes (outre les classiques assonances et allitérations) :
- la comparaison (« comme l’enfant avide de spectacle », « comme on hait un obstacle »)
- et la métaphore du théâtre (« spectacle », « rideau », « toile levée »...)
- la comparaison (« comme l’enfant avide de spectacle », « comme on hait un obstacle »)
- et la métaphore du théâtre (« spectacle », « rideau », « toile levée »...)