Sagot :
La fable Les deux pigeons est un apologue au service de la morale.
La morale est délivrée par le fabuliste en se basant sur l'histoire des deux pigeons, mais également sur son expérience personnelle.
Pour la Fontaine, la richesse est à chercher chez l'autre, et non dans le voyage. Le sentiment d'amour doit l'emporter sur le caprice égoïste, représenté ici par le voyage.
La Fontaine prend le lecteur comme juge : emploi de "notre" pour qualifier le pigeon comme pour associer le lecteur à son jugement ironique du pigeon voyageur, "je laisse à juger".
La Fontaine cherche donc à convaincre (faire appel à la raison) et persuader (faire appel aux sentiments) le lecteur.
La morale est délivrée par le fabuliste en se basant sur l'histoire des deux pigeons, mais également sur son expérience personnelle.
Pour la Fontaine, la richesse est à chercher chez l'autre, et non dans le voyage. Le sentiment d'amour doit l'emporter sur le caprice égoïste, représenté ici par le voyage.
La Fontaine prend le lecteur comme juge : emploi de "notre" pour qualifier le pigeon comme pour associer le lecteur à son jugement ironique du pigeon voyageur, "je laisse à juger".
La Fontaine cherche donc à convaincre (faire appel à la raison) et persuader (faire appel aux sentiments) le lecteur.